En cette période de l'année, les toits en les rue de Death City était toutes recouvertes de neiges. Une neige épaisse et moelleuse, qui assure à toute personne tombant à terre une chute sans douleur, et bruit. En Hiver, tout est froid et hors de question de lécher de la glace, car sinon, la langue y restera coller par la différence thermique des deux corps. Cette saison rendait les montagne encore plus belles qu'elle ne l'était en Été, en offrant la possibilité de faire du ski sur d'immenses chant de poudre froide. Le relief n'est que légèrement arrondie par le manteaux qui le recouvre et donne une impression de beauté caché.
Black Star avait profiter du soleil radieux qui éclairait de blanc tout les reflet émis par la neige. Avec Tsubaki, ils avait manger dehors après avoir fait une bataille de boules de neige et avoir construit un géant de neige. Les marchants avaient accrochés dans les rues de grandes illumination pour rappeler que cette période de l'année était une période de fête pour tout le monde, et devait instaurer générosité et amour entre les personnes. Mais tout ce culte était aussi vouer à une personnalité très particulière, avec une grosse bedaine, une barbe blanche énorme et des vêtements rouges hideux: Le père noël.
De par sa légende, l'évocation de ce nom éprouvait pour les enfants une joie incommensurable et une très grande frénésie. Mais pour Black Star, ce personnage n'était autre qu'un imposteur.
"Comment un personnage avec un si gros ventre peu descendre dans une cheminée étroite pour déposer, au pied du sapin, des cadeaux qu'il n'a même pas acheté. De plus les seuls cadeaux qu'il m'est arriver de trouver en-dessous du bonsaï que j'avais placer dans le salon était un vieux camion qui n'avait que 3 roues. Vraiment les lutins à la botte du père noël sont des incapables. Si j'en chope un, je le bute!"
D'après ses propres dires, Black Star n'aimait vraiment pas le père noël et encore plus ces lutins.
Mais comme si quelqu'un l'avait entendu,alors que la nuit tombait sur le village de Death City, trois silhouettes apparurent dans la, encore, claire obscurité d'une ruelle asser étroite, mais asser large pour que les trois petit bonhomme puissent se mettre côte à côte, avec une bonne distance de un mètre entre chaque personnage.